Parcours étudiant : « je suis entrée en 1ère année d’orthophonie ! »

Parcours étudiant : « je suis entrée en 1ère année d’orthophonie ! »

Quels conseils aimeriez-vous avoir pour intégrer, vous aussi, un centre de formation en orthophonie (CFUO) ? Vous vous êtes posé de nombreuses fois la question. Comme chaque mois, toute l’équipe d’e-orthophonie* est heureuse de partager avec vous les astuces de nos étudiants qui ont brillamment réussi !

Ce mois-ci, c’est au tour d’Emilie. Elle partage son expérience avec vous au détour de notre interview vérité. Découvrez son parcours et ses conseils pour réussir !

 

1ère partie : INFORMATIONS CONCERNANT EMILIE

  1. Année d’intégration d’un CFUO ? Septembre 2023
  2. Combien d’années de tentatives ? Une année
  3. Nombre de regroupements de CFUO demandé l’année de l’intégration ? Lesquels ? J’ai demandé 5 regroupements : Paris, Lille, Grand Est, Paca-Occitanie et Rhône-Alpes.
  4. CFUO intégré ? Le CFUO de Lyon

2ème partie : DURANT LA PREPARATION

  1. Circonstances particulières durant l’année de préparation : bachelier ? fac en parallèle ? dans quelle filière ? en reconversion (de quel métier ou branche) ? J’étais au lycée en terminale (bachelière).
  2. Prépa en présentiel effectuée (auparavant ou en parallèle) ? Non, aucune autre prépa, juste e-orthophonie en parallèle de ma terminale.
  3. Pourquoi avoir choisi une prépa en ligne et e-orthophonie*, en particulier ? J’étais extrêmement motivée pour rentrer en école d’orthophonie et je savais à quel point c’était sélectif. J’ai voulu mettre tous les moyens possibles pour réussir, j’ai donc cherché sur internet s’il existait des prépas pour m’accompagner. J’ai choisi e-ortho car c’était une prépa en ligne (impossibilité de faire du présentiel pendant ma terminale), il y avait de très bons témoignages et l’accompagnement qu’elle proposait me convenait. J’ai ensuite eu une très bonne impression en discutant par mail et par téléphone avec le responsable (Pr. Mazov).
  4. Quelle était votre organisation de travail durant la préparation (par exemple, nombre de jours de travail par semaine, nombre d’heures de travail par jour, quel contenu vous a le plus servi…) ? J’essayais de travailler un petit peu chaque soir après mes devoirs du lycée qui étaient prioritaires, pendant environ 30 min sur les quizz de la semaine (orthographe, grammaire, tests psychotechniques). Et je travaillais surtout le week-end (environ 3 heures) en assistant à tous les webinaires. Je me suis concentrée sur l’essentiel car ma terminale me prenait déjà beaucoup de temps. J’ai passé la majorité de mon temps de travail à lire et apprendre les cours sur le métier, sur les troubles rééduqués et à écrire mon projet de formation motiv et mes encadrés. Je faisais particulièrement les concours blancs sur la personnalité, les questions sur le métier et les oraux car avec la correction individuelle c’était d’une grande aide. Après janvier, j’ai uniquement révisé pour les oraux, toutes
    les questions et exercices possibles (environ 30 minutes par jour dans la semaine et 5 heures le week-end).
  5. Qu’est-ce qui a été décisif dans votre préparation ? L’accompagnement personnalisé de la prépa avec les visios individuelles pour le dossier et les oraux, puis tous les supports associés qui m’ont permis de me préparer à toutes les questions possibles et de réduire mon stress !
  6. Comment avez-vous choisi les CFUO (critères de sélection) ?J’ai choisi en fonction de la proximité de mon lieu de vie (Grenoble), des villes attractives dans lesquelles je me voyais vivre et je préférais les écoles avec des grandes promotions. J’en ai demandé 5 pour avoir plus de chance.
  7. Selon vous, que recherchent les jurés lors des oraux ? Je pense qu’ils veulent nous découvrir avant tout, savoir qui l’on est car nous serons leurs futurs collaborateurs, et être sûrs que nous serons en capacité de prendre en soin des patients. Ils veulent voir notre connaissance précise et approfondie du métier. Si nous avons les qualités et compétences pour être orthophoniste. Et pour la plupart, vérifier notre niveau de langue française.
  8. Qu’est-ce qui vous a le plus servi lors de la préparation aux oraux (entraînements personnels aux exercices et questions, oraux blancs…) ? J’ai trouvé la préparation aux oraux très complète. Le gros plus sont les oraux blancs individuels qui nous plongent dans ce que nous allons vivre et nous rassure grâce aux conseils. Tous les cours sur les oraux que l’on retrouve sur la plateforme avec les questions déjà posées les années précédentes, les exercices, sont un atout. Je dirais que tout est essentiel et qu’au niveau des oraux, il ne faut faire l’impasse sur rien.
  9. Après coup, quel était votre meilleur atout à l’oral ? Mon meilleur atout était ma connaissance précise du métier que j’avais personnalisée avec mes motivations. Ne pas définir le métier comme tous les autres candidats, apporter sa définition en impliquant des exemples concrets du métier (quel patient et quelle rééducation, comment) et en faisant le lien avec mes expériences personnelles.

 

 

3e PARTIE : UNE FOIS LE CFUO INTEGRE

  1. Combien suivez-vous d’heures de cours et TD en présentiel par semaine en moyenne ? Début d’année extrêmement chargé à Lyon pendant un mois : 35 heures CM (seulement 2 heures de TD anglais les premières semaines) par semaine. A partir d’octobre en moyenne : 26 heures de CM et entre 4 h et 12 h de TD par semaine. Aucun cours en distanciel en L1 à Lyon, sachant que les CM ne sont pas obligatoires.
  2. Quelles sont les périodes de cours et de vacances ? 4 jours de vacances à la toussaint, puis vacances de Noël comme temps de révisions avec partiels début janvier. Ensuite, 3 jours de vacances en février et 1 semaine à pâques (révisions pour les seconds partiels). 2 périodes de stage au semestre 2 : 2 semaines fin janvier en CP (élémentaire) et 2 semaines fin mars en GS (maternelle). Possibilité de faire son stage à Lyon mais aussi dans nos villes d’origine en France
  3. Quels points forts pouvez-vous évoquer par rapport au CFUO choisi ? des points faibles ? Points forts : grande promotion (100) / cours enseignés par des chercheurs et orthophonistes donc des cours de grande qualité / examens centrés sur une semaine avec peu de contrôle continu dans l’année donc peu de travaux longs à rendre pendant le semestre / système de tutorat avec des ronéos / équipe enseignante à l’écoute / ville de Lyon incroyable et CFUO proche du centre en métro (10 minutes)
    Points faibles : emploi du temps chargé et peu de vacances mais CM non obligatoires donc permet une liberté dans notre organisation
  4. Quels conseils pour bien aborder la 1ère année ? Quel est le temps de travail personnel (vous pouvez indiquer un nombre d’heures par semaine, par exemple) ? Par semaine je travaille, en plus des cours, 2 heures par soir et environ 7 heures le week-end.
  5. Comment organisez-vous votre temps de travail (relecture, lectures complémentaires…) ? Je vais à tous les cours et reprends chaque soir mes cours de la journée (relecture, mise en page). Je fais des fiches de révisions pour certains cours le week-end pour synthétiser car les cours sont très denses. Et je travaille sur mes quelques travaux à rendre régulièrement (exposé, oraux).
  6. Y a-t-il des erreurs à éviter ? Je pense qu’il ne faut pas tomber dans le piège de ne pas venir en CM car les profs expliquent très bien et une grande partie de l’apprentissage et de la compréhension se fait en cours.
  7. Avez-vous des conseils à donner pour trouver un stage (école, structures, libéraux) ? Si oui, lesquels ? Essayer de s’y prendre le plus à l’avance possible pour ne pas tout faire dans la précipitation et le stress. Envoyer pleins de mail quitte à recevoir des refus, appeler et surtout ne pas lâcher. Ils sont souvent tous très occupés donc rappeler et relancer régulièrement pour avoir des réponses. L’école nous accompagne très bien dans la recherche de stages et répond à toutes nos questions (temps de cours exprès pour cela).
  8. Pourriez-vous dire si le CFUO que vous avez choisi insiste davantage sur certains aspects (par exemple : neurologie, langue des signes…) ? A Lyon, les cours de neurosciences, neurologie, anatomie de l’audition sont très présents, en tout cas en première année. Le CFUO est réputé pour insister sur la neurologie, mais il n’empêche que nous avons énormément de cours « non scientifiques » également.
  9. Souhaitez-vous ajouter des informations qui vous semblent pertinentes et surtout essentielles à connaître pour les futurs étudiants en orthophonie ? Pour les oraux, soyez vous-mêmes, ils veulent voir votre personnalité et recruter des étudiants très différents, on le voit toute suite au sein des promos. Et travailler son niveau de français, car en CFUO ils sont intransigeants (perte de points si erreurs d’orthographe dans les partiels), le niveau des étudiants baisse apparemment donc ils vont y faire de plus en plus attention. ET SURTOUT FAITES CONFIANCE A KARA ET PR. MAZOV CHEZ E-ORTHOPHONIE !

Merci à Emilie, qui a su nous faire confiance pour en gagner et réussir à donner vie à ses ambitions.

 

Que retenir de la sélection Parcoursup pour intégrer un centre de formation en orthophonie ?

Que retenir de la sélection Parcoursup pour intégrer un centre de formation en orthophonie ?

Tous ceux qui souhaitent intégrer une formation en orthophonie en 2025 se posent la question. Que vous soyez de futurs bacheliers, étudiants, en reconversion, vous cherchez à comprendre la réalité de la sélection via Parcoursup. Maintenant que la sélection est terminée, il faut comprendre comment se passera la sélection en 2025. L’analyse des résultats de nos candidats en 2024 permet de savoir à quoi s’en tenir.

Tout d’abord, comme annoncé, les CFUO recherchent tout type de profil que vous soyez en reconversion, que votre bac date d’il y a quelques 10 ans ou plus, que vous soyez en Terminale ou alors étudiants, votre candidature intéresse les CFUO même si certains regroupements semblent plus attirer par certains bacs ou profils que d’autres.

Aussi, vos résultats et vos connaissances en sciences, en sciences humaines et sociales, en français, acquises au lycée, au cours de vos études, de votre parcours, seront fondamentales car elles révéleront votre appétence pour des études largement scientifiques et communicationnelles.

Et surtout, 2024 a mis en lumière l’importance des épreuves orales. N’oubliez pas que ces oraux sont des moments privilégiés pour les CFUO. Cette phase d’admission permet aux membres du jury d’échanger avec les candidats, analyser et décortiquer leur compréhension du métier, leurs capacités en termes de communication, leurs connaissances, leur intérêt pour les problématiques des patients… Aucun bon résultat en sciences ou en français ne permettra de pallier un manque dans ces domaines.

Un bon candidat est un candidat qui a été à la rencontre des professionnels, s’est rapproché de patients, s’est investi dans l’accompagnement. Chaque candidat devra présenter sur Parcoursup et devant les jurés un projet de formation motivé unique et qui saura prouver un parcours pertinent.

Vouloir intégrer un centre de formation en orthophonie, c’est déjà s’intéresser et se préparer au métier, tant dans les connaissances que dans les savoir-être !

 

 

 

VocabOrtho : la dyspraxie

VocabOrtho : la dyspraxie

Chaque mois, nous vous proposons de découvrir une pathologie prise en charge par les orthophonistes. Ce sont des notions essentielles à connaître pour vos oraux d’admission en CFUO ⁣⁣😉. Ce mois-ci, nous vous présentons la dyspraxie.

La dyspraxie est un trouble du développement qui affecte chez l’enfant la planification et la coordination des mouvements, entraînant des difficultés dans l’accomplissement de tâches motrices, telles que l’écriture, la coordination œil-main et d’autres activités quotidiennes.

Définition

Première chose à savoir : la dyspraxie n’est pas une maladie. Ce handicap invisible appartient à la grande famille des troubles neuro-développementaux et, plus spécifiquement, à la famille des troubles « dys- » (comme la dyslexie, la dyscalculie, la dysorthographie…), il se manifeste par des troubles d’apprentissage.

La dyspraxie se définit comme un défaut de planification et d’organisation du geste : l’enfant qui souffre de dyspraxie est incapable de (ou présente d’importantes difficultés à) coordonner sa main et son œil, à optimiser son orientation dans l’espace ainsi qu’à coordonner ses deux mains entre elles.

En cas de dyspraxie, il n’y a pas d’automatisation du geste : aussi, les gestes de la vie quotidienne (faire ses lacets, boutonner sa chemise, zipper sa fermeture éclair, écriture de son prénom…) doivent être constamment réappris, ce qui entraîne de la lenteur et de la maladresse. Et parfois, en découle un manque de confiance en soi.

Attention : la dyspraxie ne correspond en aucun cas à un défaut d’intelligence : contrairement aux idées reçues, l’enfant dyspraxique ne présente aucune déficience intellectuelle !

Troubles dyspraxiques de l’enfant : est-ce fréquent ?

Les experts estiment que 5 % à 6 % de la population souffre de dyspraxie : en moyenne, en France, 1 enfant par classe est dyspraxique. Les garçons pourraient être plus atteints que les filles, bien que ça n’ait pas été démontré.

Les causes de la dyspraxie

À ce jour, la seule cause réellement identifiée à la dyspraxie est la grande prématurité, c’est-à-dire une naissance entre la 28ème et la 32ème semaine d’aménorrhée (soit après seulement 6 à 7 mois de grossesse). Il pourrait également y avoir un facteur de risque héréditaire, sans que ça soit démontré.

 

 

Les symptomes de la dyspraxie

La dyspraxie était autrefois qualifiée de « syndrome de l’enfant maladroit ». Ce trouble neuro-développemental (que l’on repère généralement dès l’entrée à l’école maternelle ou en primaire) se manifeste en effet par une « maladresse » particulière vis-à-vis des actes du quotidien et une difficulté à repérer les objets les uns par rapport aux autres. Voici quelques exemples :

  • les enfants dyspraxiques sont incapables de / ont des difficultés à se coiffer,
  • les enfants dyspraxiques sont incapables de / ont des difficultés à s’habiller et à se déshabiller seuls,
  • les enfants dyspraxiques sont incapables de / ont des difficultés à se laver seuls,
  • les enfants dyspraxiques sont incapables de / ont des difficultés à manger avec des couverts : ils ont du mal à couper avec un couteau, ils préfèrent manger avec les doigts…,
  • les enfants dyspraxiques sont incapables de / ont des difficultés à découper en suivant un trait,
  • les enfants dyspraxiques sont incapables de / ont des difficultés à colorier sans dépasser les bords,
  • les enfants dyspraxiques sont incapables de / ont des difficultés à coller des gommettes dans des emplacements dédiés,
  • les enfants dyspraxiques sont incapables de / ont des difficultés à faire leurs lacets,
  • les enfants dyspraxiques sont incapables de / ont des difficultés à boutonner leurs habits : les boutons ne sont pas tous mis, ils sont boutonnés de travers…,
  • les enfants dyspraxiques sont incapables de / ont des difficultés dans l’écriture,
  • les enfants dyspraxiques sont incapables de / ont des difficultés à se repérer dans l’espace et/ou dans le temps : l’enfant ne sait pas quel jour on est, il se perd dans l’école, il a des difficultés à s’orienter, il confond sa gauche et sa droite…,
  • les enfants dyspraxiques tombent fréquemment (à vélo, en courant…).

Diagnostic et prise en charge

La dyspraxie ne vient jamais seule : elle s’accompagne généralement d’un autre trouble « dys- » (comme la dyslexie pour certains enfants, la dysorthographie ou la dyscalculie pour d’autres) voire d’un trouble déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH). Le diagnostic de dyspraxie ne peut être posé que par un médecin : il peut être question d’un neuropédiatre, d’un neurologue ou même d’un médecin généraliste – ceux-ci pourront s’appuyer sur les bilans réalisés en amont par le neuropsychologue, l’ergothérapeute, l’orthophoniste…

Est-ce que la dyspraxie est un handicap ?

Dès le diagnostic de dyspraxie, une reconnaissance auprès de la Maison Départementale pour les Personnes Handicapées (MDPH) peut être demandée : celle-ci permet notamment une prise en charge de certaines rééducations habituellement non-remboursées (ergothérapeute, neuropsychologue…). Une prise en charge précoce est donc bénéfique pour l’enfant.

Comment aider un enfant dyspraxique en classe ?

Des aménagements peuvent être mis en place dans le cadre scolaire aux enfants qui souffrent de dyspraxie et connaissent donc des problèmes d’écriture : il s’agit notamment d’une réduction de la masse de travail scolaire, d’une mise à disposition d’un outil informatique, ou encore d’une aide humaine (AESH). Le mieux est d’en discuter avec le(a) directeur(rice) de l’école ainsi que les médecins scolaires. À la maison, des aménagements peuvent aussi être réalisés pour soulager l’enfant dyspraxique : calendrier adapté, livres audio…

Les traitements de la dyspraxie

Le bilan médical guide un traitement personnalisé pour l’enfant dyspraxique, impliquant une équipe de professionnels de santé (psychomotricien(ne), ergothérapeute, psychologue, orthophoniste, orthoptiste si nécessaire). Les soins peuvent être régulièrement ajustés en fonction de la progression de l’enfant. Une intervention et prise en charge précoce est plus efficace pour atténuer les troubles. L’engagement et le soutien de l’entourage est crucial.

 

3 places restantes avant la l’ouverture de notre liste d’attente

3 places restantes avant la l’ouverture de notre liste d’attente

Pour rappel, nous proposons un accompagnement sur mesure, adapté et personnalisé. Pour que tous les dossiers soient étudiés, corrigés puis validés avant le dépôt sur Parcoursup et afin d’assurer des oraux individuels de qualité à chacun, nous limitons le nombre de candidats à 150 étudiants par promotion.

Il ne nous reste plus que 3 places pour la rentrée universitaire 2024-2025 avant l’ouverture de notre liste d’attente

De ce fait, si vous souhaitiez préparer votre concours avec e-orthophonie*, merci par avance de prendre en compte ces informations lors de l’envoi de votre dossier ou de votre inscription en ligne.

N’hésitez pas à nous contacter par mail à admin@e-orthophonie.fr afin que nous vous réservions une place.

Nous vous souhaitons à toutes et à tous de bonnes vacances bien méritées.

A bientôt sur e-orthophonie* !

e-orthophonie*

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Vidéo de
présentation
Livre
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Des résultats exceptionnels pour notre promotion 2023-2024 !

Des résultats exceptionnels pour notre promotion 2023-2024 !

64% d’admissibilité et 44% d’admission en 2024 ! Nous sommes très fiers de vous annoncer les excellents résultats de nos étudiants.

 

C’est incroyable, plus de 44% de notre promotion 2023-2024 ont brillamment réussis leurs concours ! Ce sont des résultats exceptionnels quand on connaît la sélectivité de ce concours et le numerus clausus drastique. Sur une promotion de 150 étudiants, 67 e-orthophonistes vont réaliser leur rêve.

Nous sommes également très heureux car nous allons continuer à collaborer avec cinq d’entre eux… mais de l’autre côté de la barrière. En effet, ces étudiantes vont travailler avec nous sur l’animation de notre web-line pédagogique et l’accompagnement des nouveaux inscrits.

Au delà de la joie que nous avons pour tous nos élèves qui ont obtenu un concours, nous sommes vraiment très satisfaits de ces résultats car nous plaçons la pédagogie et l’encadrement au cœur de notre formation. Ces nombreuses réussites reflètent pour nous la qualité de notre préparation et l’implication de l’ensemble de nos équipes.

Encore un grand bravo a nos e-orthophonistes qui ont réussi avec brio !

Nous leur souhaitons beaucoup de succès dans la suite de leurs études.