Ne baissez jamais les bras et croyez en vous !

Ne baissez jamais les bras et croyez en vous !

Parcoursup a fermé ses portes le 3 avril et les premiers oraux d’admission auront lieu dans quelques jours. Nous souhaitions ainsi vous envoyer de bonnes ondes pour vous mettre dans les meilleures conditions durant cette période déstabilisante. Ne baissez jamais les bras et croyez en vous ! Vous allez arriver à l’oral, c’est votre place, vous êtes légitimes.

Nous voulions vous féliciter car le chemin choisi n’est vraiment pas des plus évidents. Choisir de l’emprunter est déjà courageux, quelle que soit la destination atteinte pour cette année.

Nous tenons particulièrement à saluer votre patience, votre persévérance, notamment pour celles et ceux qui ont déjà traversé cette épreuve plus d’une fois… On ne repart jamais véritablement de zéro, les expériences qui nous grandissent le plus ne sont pas toujours celles que l’on pense, les plus agréables, ou victorieuses. Mais quels que soient les résultats, ne doutez jamais de vous et de votre valeur. Gardez le bien à l’esprit lors de vos oraux. Si vous êtes là, c’est que vous le méritez. Le jeu en vaut vraiment la chandelle !

 

 

Le danger des écrans pour les jeunes

Le danger des écrans pour les jeunes

Véronique Fauvinet, orthophoniste, nous explique le danger des écrans pour les jeunes.

Nous partons d’un constat alarmant : « Dans nos cabinets nous faisons depuis plusieurs années, des constats de plus en plus inquiétants. Des enfants sans langage à l’âge de trois ans, ou avec un langage très appauvri, qui ont du mal à faire des phrases. Cela nous alerte beaucoup, et quand on pose des questions on s’aperçoit que les écrans tiennent une place importante dans leur quotidien ».

Un enfant peut passer 1000 heures par an derrière un écran.

Qu’est-ce qu’une place importante, en matière d’exposition aux écrans : « on estime que chez un enfant de maternelle c’est environ trois heures par jour, soit 1000 heures par an, c’est-à-dire. C’est plus que le temps qu’il passe à l’école ! Et chez un lycéen, c’est 2,5 fois le temps qu’il passe en classe. Ca se traduit par des problèmes de concentration en classe, un manque de sommeil »

Quand l’exposition s’arrête : « quand on arrive à faire comprendre ça aux parents, les changements sont édifiants chez le jeune enfant, il se met à jouer, c’est comme cela qu’il se construit ».

Notre cerveau pourrait être en phase de déclin.

Pour Véronique Fauvinet, comme pour un certain nombre de chercheurs, c’est l’avenir de nos cerveaux qui est en jeu : « il y a des études, le langage s’appauvrit, le cerveau pourrait être sur une phase de déclin, nous on voudrait tirer une sonnette d’alarme ». Et pour elle, ce sont les enfants qui doivent éduquer leurs parents : « ils doivent aussi mettre leurs écrans de côté, ça les enfants nous le disent, ils sont derrière leur téléphone ou leur tablette, les relations se font par écran interposé, alors que le langage se construit sur l’interaction à l’intérieur des familles ».

 

La sélection d’entrée en 1ère année d’orthophonie : un tourbillon d’émotions…

La sélection d’entrée en 1ère année d’orthophonie : un tourbillon d’émotions…

Pris au milieu de ce tourbillon d’émotions dans l’attente de vos oraux d’admission, vous vous dites que vous aimeriez connaître la recette pour rester zen le jour où vous serez face au jury. Nous avons longtemps cru que cela devait avoir le même goût qu’une glace au chamallow avec des pépites de chocolat blanc 🤣.

Plus sérieusement, nous pensons en réalité que ce n’est pas si éloigné que ça. En effet, le zen tire son origine d’une des branches japonaise du bouddhisme :

Japon + Bouddha = c’est plutôt de bon augure 😉

L’approche du zen consiste à vivre dans le présent, ici et maintenant, sans espoir ni crainte. Dans la réalité, le zen, ou plutôt la pratique du zazen, c’est-à-dire la méditation assise, peut permettre de parvenir à l’éveil. Ce que vous pouvez retenir, c’est que la pratique et la réalisation se confondent puisque le zazen doit être sans but, il aide à la connaissance de soi-même et à la découverte de sa vraie nature, il ne faut rien en attendre.

Chacun possède en soi ce qu’il faut pour être qui il est.

 

e-orthophonie*

La stimulation cognitive par le jeu : une approche innovante de Dynseo pour les troubles cognitifs

La stimulation cognitive par le jeu : une approche innovante de Dynseo pour les troubles cognitifs

L’innovation au service du bien-être mental

La détérioration cognitive peut affecter la vie quotidienne de nombreux seniors et patients atteints de maladies neurodégénératives telles que la maladie d’Alzheimer. En lancant Dynseo, Justine Monsaingeon a conçu une série d’applications destinées à stimuler l’esprit par le jeu, rendant le processus de stimulation cognitive non seulement efficace mais aussi agréable pour enfants et adultes.

Les jeux comme ponts vers une meilleure santé mentale

Justine Monsaingeon, la fondatrice, croit fermement en la puissance de la gamification pour améliorer l’accessibilité et l’engagement des utilisateurs envers les outils numériques. Selon elle, les applications traditionnelles de stimulation mentale peuvent parfois s’avérer rébarbatives ou compliquées pour les utilisateurs, surtout lorsqu’ils sont confrontés à des défis cognitifs. « Joe : coach cérébral », l’application phare de Dynseo, offre une alternative ludique qui encourage les utilisateurs à s’engager régulièrement grâce à des défis adaptés à leur niveau.

Un pas à pas vers le progrès cognitif

En se concentrant sur une progression graduelle, « Joe : coach cérébral » permet aux utilisateurs de s’attaquer à des défis quotidiens qui renforcent la mémoire, la logique, et d’autres compétences cognitives. Par exemple, un jeu pourrait demander à l’utilisateur de se souvenir d’une liste de courses ou de résoudre des énigmes simples, favorisant ainsi l’activation régulière des circuits neuronaux.

Une communauté soutenante pour une rééducation collaborative

La plateforme de Dynseo n’offre pas seulement des jeux, mais aussi une communauté en ligne où les familles et les soignants peuvent suivre les progrès des patients, partager des conseils et discuter des défis rencontrés. Cette approche collaborative assure que chacun – du patient à ses proches – est impliqué et informé, renforçant ainsi le réseau de soutien autour de l’utilisateur.

 

D’où vient l’orthophonie ?

D’où vient l’orthophonie ?

Bon à savoirVous voulez devenir orthophoniste ? Un magnifique projet et nous ne pouvons que vous en féliciter. Mais savez-vous d’où vient l’orthophonie ? Un peu d’histoire…

Le mot orthophonie est né en France en 1828, lors de la création par le Docteur Marc Colombat de l’Institut Orthophonique de Paris, dont le but était le redressement de la parole et en particulier du bégaiement.

Les premières attestations d’études d’orthophonie ont été délivrées en 1955 à la suite des initiatives de Madame Suzanne Borel-Maisonny, fondatrice de cet enseignement en France. La profession a obtenu son statut légal par la loi du 10 juillet 1964 qui a institué un diplôme national : le Certificat de Capacité d’Orthophonie (C.C.O.).

Depuis cette date, les orthophonistes figurent, au même titre que six autres professions d’auxiliaires médicaux, au Livre IV du code de la Santé Publique. La définition de l’orthophonie parait dans la loi en janvier 2016 (article L4341-1 du code de la santé publique, modifié par la LOI n°2016-41 du 26 janvier 2016 – art. 126).