Dans une société sous pression, où les enfants doivent grandir sans attendre, les orthophonistes sont devenus les alliés incontournables de nos enfants.
Le profil de cette profession de santé, nouvelle coqueluche des familles, est bien ciblé : de sexe féminin à 97 %, elle possède un bac + 5 et est âgée, en moyenne, de 40 ans. Et c’est bien elle que l’on vient consulter en masse quand les notes chutent, et que le redoublement menace. Remettre en selle l’enfant en échec scolaire, depuis la maternelle jusqu’au bac, voilà une de ses missions. « L’orthoph’ », comme la surnomment les petits, rattrape le temps perdu en colmatant les retards de parole, réconcilie ceux qui sont fâchés avec les mots, rééduque les dyslexiques, les dysorthographiques, les dyscalculiques, et rassure les parents en détresse en prenant en charge leurs enfants désorientés. Cette profession discrète devient ainsi incontournable !
Florence, 35 ans, reçoit ses patients dans un vaste appartement du Xe arrondissement de Paris. La salle d’attente est peuplée de mères anxieuses accompagnant leurs enfants. Florence fait partie des 900 orthophonistes installées en libéral, à Paris. C’est un chiffre minuscule, si l’on considère qu’il existe plus de 3 200 dentistes et 2 000 psychologues répertoriés dans la capitale. « Il n’y a pas assez d’orthophonistes, confirme Florence, car la demande est énorme. Nos listes d’attente s’allongent d’année en année. J’ai des patients qui habitent loin, en banlieue, et qui, faute de professionnels près de chez eux, font une heure de trajet pour venir à mon cabinet chaque semaine. »
Selon la Fédération Nationale des Orthophonistes, le volume d’actes a doublé en dix ans. Et il risque d’augmenter avec la décision d’Emmanuel Macron d’abaissé à 3 ans au lieu de 6 ans l’âge de la scolarisation. L’ambition ? Que l’école maternelle devienne une structure essentielle et non plus (parfois) une crèche bis. Le risque à maîtriser ? Que les moins de 6 ans soient soumis à la pression d’apprendre plus vite, dans un cadre scolaire de plus en plus intolérant à la différence.
« Quand j’ai enfin eu un rendez-vous pour Oscar, explique la mère d’un petit patient de Florence, j’étais euphorique. Cela faisait deux mois que j’étais sur liste d’attente, je désespérais de trouver une orthophoniste. Mon enfant, qui est en deuxième section de maternelle, s’exprime mal. Il peine en classe, et son institutrice insistait pour qu’on lui fasse passer un bilan. »
Le bilan, c’est le sésame, cette épreuve initiatique qui est aussi l’occasion d’une première rencontre entre les parents, l’enfant et la thérapeute du langage. Il dure une heure et ventile une série de tests, souvent ludiques, permettant de cerner les lacunes. Après cela, les séances débutent. « Elles durent entre trente minutes et une heure, précise Florence. Selon les troubles démontrés par le bilan – simple retard de parole, troubles de l’articulation, dyslexie -, on met en place un processus de rééducation. » Plus le lien est bon, plus l’orthophoniste est compétente, plus les résultats sont présents. Même les plus récalcitrants parviennent à déchiffrer des syllabes, puis des mots et des phrases ; l’arithmétique se dévoile autrement, la graphie aussi. L’orthophoniste adapte des techniques d’apprentissage de la lecture, de l’orthographe, de la syntaxe. Une précieuse alternative au processus scolaire, qui panique ou perturbe l’enfant en échec : « On échoue rarement, sauf s’il s’agit de problèmes psychiques très graves ou de formes d’autisme », ajoute Florence.
Dans son cabinet, elle reçoit des parents de plus en plus jeunes, stressés par le couperet du redoublement, hantés par le spectre de la performance et de la sélection, et persuadés que « tout se joue avant 6 ans ». Optimiste, Florence estime qu’il n’y a pas de règle, chaque cas est différent et il ne faut pas s’alarmer automatiquement à 6 ans. Et nombre d’orthophonistes invitent les parents à arrêter, par exemple, les cours d’anglais infligés aux tout-petits, pour les emmener bricoler, jardiner, cuisiner. Loin des applis et de leurs écrans.
Chaque mois, nous vous proposons de découvrir une pathologie prise en charge par les orthophonistes. Ce sont des notions essentielles à connaître pour vos oraux d’admission en CFUO 😉. Ce mois-ci, nous vous présentons l’écholalie.
L’écholalie est un trouble du langage dans lequel on répète involontairement les derniers mots entendus, comme un écho. Ce type de pathologie se rencontre dans certaines aphasies et en cas d’atteinte du lobe frontal, mais principalement en cas d’autisme ou de démence chez les personnes âgées.
1. Définition de l’écholalie
L’écholalie est un trouble du langage dans lequel on répète systématiquement les derniers mots entendus. Ce besoin irrépressible et compulsif de répéter les paroles de la personne avec laquelle elles parlent peut empêcher les personnes souffrant d’écholalie d’exprimer normalement leurs propres idées, ce qui complique encore plus l’échange. À titre d’exemple, le malade peut répéter la question qu’on vient de lui poser sans parvenir à y répondre. À noter qu’une écholalie s’observe fréquemment chez les moins de 3 ans lorsqu’ils commencent à apprendre à parler. Ce phénomène est dans ce cas-là tout à fait normal puisque les petits enfants éprouvent naturellement des difficultés à différencier leurs pensées et à les exprimer en parallèle d’une répétition. Cela fait partie du processus d’apprentissage. De même, lorsque les enfants apprennent une langue étrangère, on peut retrouver ce phénomène.
On juge toutefois qu’une écholalie est pathologique lorsqu’elle persiste au-delà de trois ans. Il existe une écholalie fonctionnelle (ou écholalie interactive) dans laquelle le malade tente de communiquer, et l’écholalie non fonctionnelle (ou non interactive) dans laquelle le malade se parle à lui-même ou de façon compulsive, automatique (parfois de façon inattendue, hors contexte), sans chercher à communiquer avec autrui.
2. Causes de l’écholalie
L’écholalie est un trouble qui se retrouve dans diverses pathologies affectant le cerveau, et en particulier lorsqu’elles touchent le lobe frontal (partie antérieure). Les enfants sont les plus concernés. Ainsi l’écholalie est un symptôme qui peut se retrouver en cas de :
trouble de la parole, tel qu’une dysphasie, qui est d’origine congénitale, ou certaines aphasies, comme le rapporte Le Robert (notamment une aphasie transcorticale : perte partielle ou complète de la capacité à s’exprimer ou à comprendre le langage écrit et parlé) ;
sclérose en plaques ;
troubles du spectre autistique sévères, y compris en cas de syndrome d’Asperger (c’est une des principales manifestations symptomatiques de la communication verbale chez l’autiste « de Kanner », indique une étude menée par le laboratoire interdisciplinaire de recherches sur le langage (LIRL), le laboratoire d’anthropologie et sociologie (LAS, EA 2241), et le département sociologie et sciences du langage de l’université de Rennes qui précise également qu’environ trois quarts des enfants autistes seraient écholaliques) ;
démence chez les personnes âgées, ce qui implique aussi la maladie d’Alzheimer ;
maladies psychiatriques telles que la schizophrénie ou le syndrome de Gilles de la Tourette (selon François Perea, maître de conférences à l’Université Montpellier-III, 15 à 30 % des personnes victimes de ce syndrome présentent des symptômes vocaux tels que l’écholalie [Note sur les symptômes vocaux et verbaux corporels. De la rupture pathologique aux comportements ordinaires, article paru dans L’Information psychiatrique, vol. 86 n° 5 — mai 2010]) ;
pathologie liée à un problème de développement et qu’on retrouve donc souvent chez les enfants ou les adolescents et chez certains enfants aveugles.
On peut également observer une écholalie chez les personnes ayant subi un traumatisme crânien et qui recommencent à parler. À noter qu’il existe des cas d’écholalie ponctuelle, celle-ci ne survenant qu’en cas de gros stress, par exemple, ou dans une situation qui est source d’anxiété.
3. Symptômes de l’écholalie
Le symptôme majeur de l’écholalie est donc la répétition de syllabes, de mots, de phrases ou même de bruits de façon involontaire. C’est le même ton qui est employé en cas d’écho exact (si une personne pose une question, le malade va répéter la même phrase en imitant le ton interrogatif), mais on peut aussi retrouver des échos réduits (seule une partie de la phrase est répétée, généralement la fin), amplifiés (la phrase est déformée, mais elle conserve sa structure d’origine) ou mitigés (la structure de la phrase répétée est en partie modifiée, réordonnée différemment).
On distingue deux grandes catégories d’écholalie : l’écholalie immédiate et l’écholalie différée. Dans l’écholalie immédiate, la répétition des derniers mots entendus intervient aussitôt (c’est la forme la plus courante), tandis que dans l’écholalie différée, la répétition intervient plus tardivement. Dans l’écholalie différée, plusieurs minutes, heures ou même plusieurs jours peuvent s’écouler entre les choses entendues, par exemple une phrase dans un dessin animé ou souvent entendue à la maison, comme le souligne Autisme Info Service, et leur répétition.
Chez les autistes, la répétition, si elle n’est pas utilisée afin de communiquer, constitue un comportement d’autorégulation qui va apaiser le malade par le simple fait de manipuler des sons. Il arrive que les personnes souffrant d’écholalie soient anormalement irritables, en particulier lorsqu’on leur pose des questions, ce qui peut se comprendre puisque cela occasionne pour eux de grandes difficultés à y répondre. Cette écholalie peut aussi poser tellement de problèmes aux personnes malades qu’elles finissent par se taire et deviennent muettes. L’écholalie, chez les autistes notamment, va également entraîner un système de communication très particulier, avec des phrases qui peuvent paraître incohérentes, mais sans l’être forcément ; un enfant autiste souffrant d’écholalie qui demande « Est-ce que tu as soif ? » peut répéter cette phrase qu’il a entendue, simplement pour avoir de l’eau, car son cerveau a associé les deux.
Enfin, chez les autistes toujours, l’écholalie différée peut intervenir de façon apparemment inappropriée en réponse à une question. Il peut s’agir d’un mécanisme plus complexe qu’il n’y paraît, dans lequel le malade prononce une phrase qui répond à la question d’un point de vue émotionnel, par une association d’idées qui peut être visuelle, tactile, auditive ou olfactive. Les mots n’ont dans ce cas aucune importance, c’est le contexte dans lequel la phrase a été entendue et perçue qui est intéressant, et le malade cherche à communiquer cet ensemble émotionnel en la répétant. Cela est pour lui beaucoup plus simple que d’essayer d’exprimer des émotions très difficiles à définir.
4. Écholalie : quand s’inquiéter ?
L’écholalie est un phénomène normal chez les enfants en phase d’apprentissage de la communication orale. En revanche, il faut commencer à s’interroger si le phénomène persiste chez un enfant de plus de 3 ans.
Si elle est vraiment pathologique, l’écholalie vous sautera aux yeux et vous pouvez mentionner cela aux différents professionnels de santé que vous pourrez être amené à voir (pédiatre, médecin traitant…). Les caractéristiques qui signent son caractère pathologique sont que la répétition :
est inadaptée ;
est systématique et persistante (qu’elle soit ou non appropriée) ;
est intégrale et littérale (sans variations des mots, du ton ou du débit).
Examens et diagnostics de l’écholalie : poser le diagnostic d’écholalie est assez simple pour un professionnel qui essaye d’engager une conversation avec un malade. Il va rapidement s’apercevoir que la personne ne parvient, la plupart du temps, qu’à répéter ce qui vient de lui être dit. Le professionnel devra dans un second temps déterminer la gravité de cette écholalie qui peut être bénigne ou sévère. Cette distinction a son importance puisque la prise en charge qui en découle doit en tenir compte.
5. Traitements de l’écholalie
Il est dans un premier temps indispensable de déterminer l’origine de l’écholalie. C’est ce qui permettra d’orienter le malade vers les spécialistes les plus susceptibles de lui venir efficacement en aide. Même si la prise en charge peut être longue et parfois fastidieuse, on peut en attendre de bons résultats ; il ne faut donc pas perdre espoir. Le traitement de l’écholalie fait appel à plusieurs professionnels et en particulier les orthophonistes, qui disposent d’outils et de techniques spécifiques. En effet, ce sont eux qui sont les plus à même de venir en aide aux malades en leur réapprenant peu à peu à exprimer ce qu’ils pensent. Le but premier recherché sera de permettre au patient de répondre à une question puis, progressivement, de s’exprimer plus facilement. L’orthophonie est utile en cas d’écholalie fonctionnelle puisqu’il s’agit d’améliorer la communication qui est souhaitée, mais irréalisable.
Dans le cadre de l’écholalie immédiate, l’orthophoniste cherchera à apprendre à l’enfant à détecter quelles phrases il peut être pertinent de répéter, même involontairement, et dans quels cas cela n’est pas pertinent. L’enfant doit donc être éduqué à discerner ce qu’il est correct et/ou logique de répéter de ce qui ne l’est pas. De même, le traitement de l’écholalie infantile consiste à faire comprendre à l’enfant les situations dans lesquelles l’écho n’est pas approprié. Bien entendu, en cas d’écholalie non fonctionnelle, le problème est tout autre puisque le patient ne cherche expressément pas à communiquer, et s’il s’agit d’un trouble neurodéveloppemental, le traitement est encore plus complexe. Des traitements médicamenteux peuvent aussi être employés pour combattre les conséquences de l’écholalie. On a donc recours à des antidépresseurs ou à des anxiolytiques destinés à calmer le malade, dans la mesure où son écholalie augmente en période de stress. Ces traitements sont donc prescrits au cas par cas. On peut également amener le malade à suivre une thérapie cognitivo-comportementale (TCC) afin de lui apprendre à gérer son problème et parvenir à mieux le vivre au quotidien. De même, un suivi psychanalytique peut être utile afin de déterminer quels événements peuvent expliquer la survenue d’une écholalie dont l’origine n’est pas évidente. Bien entendu, ces deux approches ne sont pas indiquées chez tous les patients, et si les enfants peuvent bénéficier d’une TCC dans certains cas, une psychanalyse ne sera en revanche pas adaptée.
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Des chercheurs russes ont conçu une plateforme numérique qui permettra de réhabiliter la parole chez les patients qui ont subi un AVC.
Le projet scientifique Russe des linguistes et des spécialistes dans la recherche clinique permet de concevoir une trajectoire individuelle de réhabilitation de la parole en fonction du niveau et du type de trouble verbal.
Le nombre de patients présentant des troubles systémiques d’activité verbale suite à un AVC augmente chaque année. Dans de nombreux cas, une personne qui a subi un AVC perd plus ou moins sa faculté de parler. L’aphasie (difficulté à s’exprimer) est psychologiquement difficile à supporter, aussi bien pour les patients que pour leurs proches.
Les troubles aphasiques nécessitent des cours de réhabilitation réguliers avec un orthophoniste. Toutefois, de nombreux patients vivent dans des régions éloignées, ce qui limite les possibilités de leur faire retrouver la parole.
La plateforme numérique propose une série d’exercices en ligne. Les chercheurs expliquent que lors de la mise au point des exercices, ils tiennent compte de la plupart des facteurs qui influencent la réussite du processus de réhabilitation verbale. Les exercices sont élaborés à partir des observations, par les linguistes, de l’activité verbale des patients ayant différents types de troubles et sur la base des résultats du travail linguistique expérimental préalable avec de tels patients.
Les données obtenues lors de l’observation des particularités d’utilisation des unités linguistiques dans la parole des patients présentant une aphasie de différents niveaux (légère, moyenne, grave) ont été analysées. Ces scientifiques ont également réuni un dossier audio et vidéo d’interactions entre un orthophoniste et un patient atteint d’aphasie pendant les cours de réhabilitation.
Les résultats de ce projet pourraient influencer la méthodologie et les principes majeurs de réhabilitation des patients, ainsi que la vision, par les linguistes, du fonctionnement du lexique mental et du système linguistique.
L’attention de la science cognitive est concentrée sur ce problème interdisciplinaire aussi bien en Russie qu’à l’étranger !
Vous stressez à l’approche du dépôt de votre dossier ? L’avis d’un professeur spécialisé sur votre travail vous rassurerait ? Vous ne savez pas comment préparer vos oraux ? Pas de panique, nous vous proposons d’aller encore plus loin… pour mieux vous accompagner ! Profitez de notre option « cours particuliers en visioconférence » pour progresser et gagner en sérénité.
Avec le succès de nos webinaires, de nos visioTD et du Student Network, nos étudiants nous ont solliciter pour savoir si nous pouvions vous proposer un accompagnement encore plus poussé. Ils peuvent désormais bénéficier d’un accompagnement supplémentaire : nos cours particuliers en visioconférence !
Ces séances individuelles et personnalisées leur permettent de maîtriser les notions les plus difficiles, d’avoir un soutien dans leur méthode de travail et de dépasser leurs difficultés .
Faire avancer efficacement et sereinement nos étudiants restera toujours notre priorité 💪🏻.
Quels conseils aimeriez-vous avoir pour intégrer, vous aussi, un centre de formation en orthophonie (CFUO) ? Vous vous êtes posé de nombreuses fois la question. Comme chaque mois, toute l’équipe d’e-orthophonie* est heureuse de partager avec vous les astuces de nos étudiants qui ont brillamment réussi !
Ce mois-ci, c’est au tour d’Axelle. Elle partage son expérience avec vous au détour de notre interview vérité. Découvrez son parcours et ses conseils pour réussir !
1ère partie : INFORMATIONS CONCERNANT AXELLE
Année d’intégration d’un CFUO ? Septembre 2023
Combien d’années de tentatives ? 2 ans
Nombre de regroupements de CFUO demandé l’année de l’intégration ? Lesquels ? J’ai tenté 5 regroupements, le maximum possible 😜 ! Du coup, j’ai choisi Amiens/Caen/Rouen, Montpellier/Nice/Marseille, Lille, Lyon/Clermont-Ferrand, Strasbourg/Nancy/Besançon
CFUO intégré ? J’ai intégré le CFUO de Caen
2ème partie : DURANT LA PREPARATION
Circonstances particulières durant l’année de préparation : bachelier ? fac en parallèle ? dans quelle filière ? en reconversion (de quel métier ou branche) ? J’étais en deuxième année de licence d’Anglais et je me suis inscrite en parallèle chez e-orthophonie*.
Prépa en présentiel effectuée (auparavant ou en parallèle) ? Non, je n’avais pas fait de prépa avant.
Pourquoi avoir choisi une prépa en ligne et e-orthophonie*, en particulier ? C’était le compromis parfait à mes yeux : poursuivre le diplôme de licence (ne pas me retrouver « sans rien »), rester dans la même région que mes proches, avoir une multiplicité de supports et être guidée pour la préparation du concours à un prix raisonnable (de plus, e-orthophonie est bien réputé et fiable).
Quelle était votre organisation de travail durant la préparation (par exemple, nombre de jours de travail par semaine, nombre d’heures de travail par jour, quels contenus vous a le plus servi…) ? Je me fiais à mon « feeling » malgré le stress. Il y a des jours où je préconisais le travail pour la fac et d’autres pour le concours. Mais je m’obligeais à être régulière au moins pour les concours blancs, et il n’y a pas une semaine qui passait sans que je travaille un minimum sur la plateforme. J’essayais d’en faire un peu tous les jours, même si c’était qu’une demi-heure.
J’ai réussi à trouver un équilibre entre les deux : j’ai valider mon année et j’ai été admise en CFUO 😊.
Qu’est-ce qui a été décisif dans votre préparation ? Je pense que la préparation minutieuse de mon dossier et des oraux blancs a été décisive. C’est très important de s’atteler aux exercices, aux concours blancs, et de se construire une clarté sur notre parcours et nos objectifs de façon régulière (et donc de se cultiver sur le métier et de s’entraîner aux exercices types, notamment les rétentions 😉). Mais l’accompagnement personnalisé des formateurs, même s’il est à distance, est ce qui m’a permis de me construire en tant que candidate solide et (presque) sereine pour le dossier et pour le Jour J.
Comment avez-vous choisi les CFUO (critères de sélection) ? Le premier critère était évidemment la distance avec mes proches. Le second était le CFUO en lui-même (réputation, cadre de vie, coût, rénovation des campus…) mais ce qui a lourdement pesé dans la balance était les vacances ! Il est important pour moi de rentrer régulièrement auprès de ma famille et de mes amis. En me renseignant, c’est avec surprise que j’ai appris que certains CFUO (cela change d’années en années) ne proposent pas de vacances en octobre et en février.
Selon vous, que recherchent les jurés lors des oraux ? C’est une question que je me pose encore pour certains 🤣. Mais pour les CFUO où j’ai eu la belle opportunité de pouvoir être admise, les jurés recherchaient des candidats ouverts, sûrs de leurs projets, connaissant bien le métier d’orthophoniste, avec des capacités cognitives solides (capacités d’adaptation, création, rétention, orthographe…) et humains surtout ! La plupart des questions étaient tournées sur celui-ci et sur nous-mêmes afin de voir si nous avions le profil pour pratiquer au mieux le métier. Il faut se dire qu’ils ne recherchent pas la perfection malgré tout. Les questions « piège » (orthographe d’un mot que même eux n’ont pas entendu ou vu depuis longtemps, donner toutes les utilités d’une cravate…) ne sont pas vraiment des questions piège ! Il faut rester honnête, ils aiment échanger et attendent de voir comment l’on réagit dans une situation nouvelle. La plupart des jurés, pour beaucoup de mes camarades également, installent une atmosphère d’échange et non d’examen. Il faut prendre la chose comme ils la présentent et se montrer à l’aise puis mettre à son tour, (si je ne m’abuse) un climat de collaboration.
Qu’est-ce qui vous a le plus servi lors de la préparation aux oraux (entraînements personnels aux exercices et questions, oraux blancs…) ? Les concours blancs ainsi que les oraux blancs personnalisés sont pour moi ce qui m’a vraiment permis de progresser et d’appuyer là où j’avais le plus de difficultés ou de doutes. Cela m’a également permis d’avoir les idées éclaircies sur ce qui est attendu dans notre dossier et lors des concours. Par la suite, les capsules pédagogiques chaque semaine, les exercices de rétention, les supports d’exercices type du concours m’ont également permis d’anticiper mes réponses. Les cours sur le métier m’ont également permis d’avoir une culture généralisée de celui-ci et donc, je pense, d’être plus pertinente lors de l’expression de mes motivations.
Après coup, quel était votre meilleur atout à l’oral ? Bonne question, compliqué à déterminer ! Si je me base uniquement sur les réactions des jurés, je dirais l’expression de mes motivations où ils semblaient être en accord avec tout ce que je leur racontais. Si je me base sur moi-même uniquement, je pense qu’avoir été naturelle, en cohésion avec moi-même tout en l’étant avec les jurés. C’était probablement mon meilleur atout. Je souriais même en situation de doute, et même si le stress persistait, je m’efforçais tout de même à faire abstraction au jury car ils ne réagissent pas tous de la même manière. J’essayais de trouver la bonne balance (cela vient à force de faire les oraux blancs) et de me dire que le plus important était de tout donner afin de ne pas avoir de regret, de montrer que j’étais ravie d’être là, et de rester concentrée au maximum lors des exercices afin de les accueillir au mieux, et encore une fois, afin d’installer un climat d’échange.
3e PARTIE : UNE FOIS LE CFUO INTEGRE
Combien suivez-vous d’heures de cours et TD en présentiel par semaine en moyenne ? Cela dépend énormément : nous avons eu des semaines à + de 35 heures (début de semestre) mais aussi des semaines à 15h (fin de semestre et avec des équivalences). Je dirais en moyenne 25h. Mais nous avons tout de même eu pas mal de journées chargées de 8h à 18h.
Quelles sont les périodes de cours et de vacances ? A Caen, 1 semaine et demi en octobre, 2 en décembre, une en février et une en avril. Il faut aussi prendre en considération les semaines de stage (4 et demi en 1ère année à Caen), et les semaines de révisions (une au premier semestre et une seconde au 2e semestre)
Quels points forts pouvez-vous évoquer par rapport au CFUO choisi ? des points faibles ? Les points forts :
Le cadre de vie : la mer à proximité, jolie ville à taille humaine, ainsi qu’une association étudiante très active. Il y a un marrainage d’emblée et des évènements réguliers, ce qui offre une très belle cohésion inter-promo;
Je ne sais pas si c’est le cas des autres CFUO mais les semaines de révisions, ainsi que la régularité des vacances.
Examens ayant lieu avant les vacances de Noël.
CHU juste à côté du campus, cela peut être sympa pour les stages.
Bâtiments et matériel neuf.
Les points faibles :
L’excentricité du campus et les terribles bouchons pendant les heures de pointe
La plupart des professeurs, pour le premier semestre en tout cas, ne sont pas vraiment présents. La plupart d’entre eux sont médecins, et il faut passer par la scolarité pour les contacter. De plus, le programme est tellement dense que nous en voyons énormément et donc pas forcément régulièrement, il est donc d’autant plus compliqué d’aller vers eux (mais nous avons eu une réunion avec la responsable d’enseignement où nous avons pu recenser nos problèmes, il s’agit d’un CFUO qui reste à l’écoute)
Quels conseils pour bien aborder la 1ère année ? Quel est le temps de travail personnel (vous pouvez indiquer un nombre d’heures par semaine, par exemple) ? J’aurais du mal à donner un nombre d’heures précis… Mais je n’ai jamais fourni autant de travail ! Ce sont des cours très spécifiques où nous partons souvent de 0 (neurosciences, embryologie, audition). Cela demande donc beaucoup de travail et d’attention. On ne peut pas se permettre de prendre du retard car les cours s’enchaînent.
Comment organisez-vous votre temps de travail (relecture, lectures complémentaires…) ? Encore une fois, je fonctionne un peu au feeling : si je sens que j’ai besoin de repos, je m’arrête. J’essaie de me laisser 1 jour ou 2 plus tranquilles dans la semaine, tout en essayant d’être à jour sur tous les cours avant d’en commencer une nouvelle. J’essaie en tout cas de travailler chaque jour après les cours en les relisant et en les complétant si besoin. J’ai commencé à ficher ceux sur lesquels j’ai le plus de difficultés mi-octobre. Pour les lectures complémentaires, j’ai adopté « l’Anatomie en orthophonie » et « Pathologies neurologiques : bilans et interventions orthophoniques ». Ils m’aident pour le moment surtout à compléter mes fiches lors de zones d’ombre.
Y a-t-il des erreurs à éviter ? Evidemment, comme toutes études supérieures, la procrastination ! Ou alors négliger les moments de repos et se surcharger de travail.
Avez-vous des conseils à donner pour trouver un stage (école, structures, libéraux) ? Si oui, lesquels ? Pas vraiment pour les stages en école, mais pour le stage chez un audioprothésiste (obligatoire à Caen), je vous conseille de vous y prendre à l’avance car il y a plus de réponses négatives que de réponses positives.
Pourriez-vous dire si le CFUO que vous avez choisi insiste davantage sur certains aspects (par exemple : neurologie, langue des signes…) ? Je n’ai pas d’idée sur le contenu précis des autres CFUO. En tout cas, à Caen, notre classeur de neurosciences est extrêmement dense et c’est l’examen qui a toujours été le plus redouté.
Souhaitez-vous ajouter des informations qui vous semblent pertinentes et surtout essentielles à connaître pour les futurs étudiants en orthophonie ? Renseignez-vous bien sur les CFUO avant de faire un choix, même s’ils se ressemblent en termes de formation, il y a tout de même des différences en termes de spécialités (langue des signes…) et de vacances comme je l’ai précisé 😊. Ensuite, faites-vous confiance et faites confiance aux formateurs d’e-orthophonie* ! Même si cette période peut être stressante, dites-vous que vous n’êtes pas seuls et n’hésitez pas à échanger les uns avec les autres. Vous êtes capables de réussir, et non, les CFUO ne sont pas si inatteignables 😉.
Merci à Axelle, une belle personnalité, à l’écoute, sincère et déterminée !