e-orthophonie* vous conseille une émission diffusée sur Europe 1 avec le Dr. Magali Dussourd-Deparis, orthophoniste, chargée de missions sur l’illettrisme à la Fédération Nationale des Orthophonistes.
Focus sur le métier d’orthophoniste : dyslexie, bégaiement ou encore rééducation des accidents vasculaires, l’orthophonie est souvent la solution.
Quelles sont les méthodes de traitement ? Quels sont les domaines d’intervention ? Pendant combien de temps et à quel coût ?
Nous vous invitons également à consulter ce blog « La souris qui raconte ». Une belle interview à lire pour mieux appréhender le métier et l’importance des livres.
Notre second webinaire de l’année 17-18 se déroulera le 21 octobre à 10h30. Il traitera de la « formulation ». Pour y participer, nos e-orthophonistes ont simplement à se connecter à notre plateforme puis se laisser guider par cet outil innovant et intuitif. Elles peuvent y accéder depuis leur ordinateur, leur tablette ou leur smartphone.
L’objectif de ce second webinaire est d’offrir la possibilité à nos étudiantes de poser leurs questions « en live » aux 2 enseignants qui animeront cette classe virtuelle. « Comment améliorer sa formulation écrite ? ». Une question qui nous est souvent posée et le but de ce cours est de vous apprendre à utiliser les bons outils pour gagner en fluidité et en précision à l’écrit 😉 .
Dans les cartons depuis plusieurs années, l’école d’orthophonie de Brest ouvrira ses portes à la rentrée 2018.
À la rentrée 2018, Brest verra enfin les portes de l’école d’orthophonie s’ouvrir sur sa première fournée d’étudiants. Dans les cartons depuis plusieurs années, le projet se concrétise enfin dans une région qui ne compte aucune école. En France, ce sera la vingtième. Si l’Université a confirmé cette ouverture, il n’y aura, pour l’instant, pas d’informations officielles sur les modalités d’inscription au concours, qui ne sont pas encore connues. L’école se ferait en partenariat avec le Centre hospitalier régional et universitaire de Brest (CHRU). De nombreux points restent toutefois à éclaircir. Le premier, et pas des moindres, est la question du concours : quelles épreuves ? Combien de candidats ? Quel jury ? Et surtout, quelles dates ? Plusieurs questions qui devront trouver réponses assez rapidement. Le concours brestois se déroulant sûrement au printemps, à rebours donc du reste des écoles, dont la plupart des écrits d’admission se déroulent entre février et avril. Mais à la même période que ceux de Marseille (12 juin), Rouen (18 mai) et Clermont-Ferrand (4 mai). Cette date s’explique notamment par le fait que les épreuves du concours ne sont pas encore prêtes.
Une première école en Bretagne
À l’instar des autres concours, le nombre de candidats sera très élevé : entre 440, pour Limoges et 3.550, pour Paris, avec une moyenne de 1.300 sur les 19 écoles. L’université s’attend à recevoir plus de 800 candidats. Au-delà de ce point, c’est aussi le nombre de places qui pose question. Sur le plan national, la moyenne est d’une trentaine d’étudiants, Lyon et Paris restant des exceptions (100 et 120 places). Brest ne devrait pas dépasser la moyenne, préférant même une petite promotion. Pour la région, la nouvelle est toutefois bonne. La Bretagne apparaissait comme un cas à part dans le paysage français. Sans école d’orthophonie dans la région, les étudiants devaient se diriger, au plus proche, à Nantes, à Tours ou à Caen, à condition de réussir les concours.
Plus d’un an de liste d’attente
Même si en 2023 (les études d’orthophonie durant 5 ans) tous les orthophonistes formés à Brest ne s’installeront pas en Bretagne, cette nouvelle école permettra de répondre à une demande toujours plus importante. À Brest, trouver un orthophoniste relève parfois du parcours du combattant, avec, dans certains cas, plus d’un an sur liste d’attente.
En France, 6 à 8 % de la population seraient concernés par les troubles “dys”. Ils ont leur journée nationale. Elle se traduira dans la Nièvre par des conférences et des tables rondes.
Dyslexiques, dysphasiques, dyspraxiques, dysorthographiques, dysgraphiques, dyscalculiques… Voici quelques exemples de “dys”.
Les objectifs principaux de la 5e Journée des “dys” sont de favoriser un repérage et un diagnostic précoce partout en France, un accompagnement et une prise en charge réellement adaptés, ainsi qu’une meilleure connaissance de ces troubles. Le diagnostic repose sur un bilan pluridisciplinaire.
Soirée gratuite
Dans la Nièvre, une soirée gratuite et ouverte à tous est organisée, pour la cinquième année, par le réseau Pluradys (*) en partenariat avec l’Agence régionale de santé, Nevers Agglomération, le réseau Canopé et la Fédération nationale des orthophonistes. Elle se tiendra, demain, à partir de 18 h 30, au siège de Nevers Agglomération, route de Marzy, à Nevers.
Au programme : une conférence de Gilles Paumier, orthophoniste et membre de l’équipe ressource de Pluradys ; suivie d’une table ronde animée par cinq professionnels de santé sur le thème « Sera-t-il “dys” ? Pour repérer, il n’est jamais trop tôt ».
« Normalement, le diagnostic, assuré par un médecin, repose sur un bilan pluridisciplinaire, faisant intervenir orthophoniste, psychologue, psychomotricien ou encore ophtalmologiste, en fonction des symptômes de l’enfant », précise Gilles Paumier.
Pour définir les modalités de prise en charge, les parents doivent s’adresser à la Maison départementale des personnes handicapées. En fonction du degré du handicap, la MDPH décide d’aménagements spécifiques, formalisés par le biais d’un projet personnalisé de scolarisation.
(*) Pluradys est un réseau de santé destiné aux enfants de Bourgogne présentant une association de plusieurs symptômes ou de plusieurs dysfonctions relatives aux pathologies du développement et/ou aux troubles des apprentissages.
Persuadée que les nouvelles technologies apportent une vraie plus-value dans le métier d’orthophoniste, la société Ortho & Co. s’est donné pour objectif de développer des applications en rapport direct avec le métier d’orthophoniste.
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Encore faut-il savoir s’en servir… et le mettre en application avec les patients ! Car on ne le répétera jamais assez, un logiciel, une application ipad, un jeu « grand public » et même un jeu créé par un éditeur spécialisé ne font pas une rééducation. C’est avant tout les orthophonistes, capables d’adapter les outils à leur disposition et à la situation particulière de chacun des patients qui permettent cette rééducation.
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Alors si vous êtes curieux et friand de NTIC, suivez ce lien !