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par Ponka
#94

Bonjour,


 


Je suis en proie à un dilemme. Le voici :


Je vise le concours de Marseille, lequel comprend deux épreuves : une de français et une de maths/bio.


Quand je dois bosser le français, j'ai le sourire.


Quand je dois bosser la bio, ça ne me dérange pas.


Quand je dois bosser les maths, je pleure.


 


Mes questions sont donc les suivantes :


- Faut-il que je travaille les matières proportionnellement à ce qu'elles valent au concours ? (c'est-à-dire dans la semaine 50% de français, 25% de bio, 25% de maths)


OU


- Faut-il que je travaille en priorité les maths, matière où je ne suis pas franchement douée, pour "compenser" avec le français où j'ai plus de facilités ?


 


Les maths ne sont vraiment pas mon fort et même si ça rentre (trèèèèèès doucement), je me demande si le rapport temps passé/résultats est rentable. En gros, parfois j'ai l'impression d'y passer beaucoup de temps pour des résultats médiocres.


 


Je pense que chacun a une matière où il se sent moins à l'aise.


Alors vous, comment faites-vous ? Et que feriez-vous à ma place ?


 


Merci pour vos conseils   :D


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par Oceane
#3167

Pour ma part je pense qu'il faut travailler en priorité ses lacunes : comme il y a des notes éliminatoires, le tout est d'au moins réussir à passer cette barre de sélection, mais pour ça (surtout quand on a du mal avec une matière) il faut bosser dur. Le but de l'histoire n'est pas de devenir incollable ni d'avoir 20 dans la matière noire mais de passer le seuil minimum. De plus, souvent c'est la même matière noire pour beaucoup d'entre nous, donc grappiller des points dessus peut être une bonne stratégie.


 


Après, tu peux travailler là où tu as des facilités, ça gonflera ta note et donc ton classement final.


 


 


Personnellement je travaille comme ça, j'ai des facilités en grammaire par exemple donc je ne travaille pas trop dessus (juste un peu pour dire que ça reste quand même bien frais le jour j), mais je sais qu'en conjugaison je pêche, donc je travaille dessus énormément pour compenser mon "retard".